Notre richesse, c’est de vous proposer des équipes pluridisciplinaires, chaque membre avec une approche, une expérience et une sensibilité différente : coach agile, formateur soft skills, Data Scientist designer, Architecte etc. On mise sur la complémentarité des disciplines pour vous apporter la meilleure réponse !
Aneo, une organisation à part entière !
Depuis 2015, Aneo est une organisation plate à gouvernance plate. Aplatir la hiérarchie, supprimer les silos, instaurer des bonus collectifs, ce nouveau modèle d’organisation avec comme objectif: apporter plus de valeur à l’entreprise, aux collaborateurs et aux clients.
Le + d’Aneo : l’inattendu !
La sérendipité, c’est « le don de faire par hasard des découvertes fructueuses ». Chez Aneo, nous croyons fermement que les meilleures solutions sont parfois les plus inattendues. Ne rien s’interdire, expérimenter, oser s’entourer de profils atypiques et avoir une obsession : apporter la juste valeur.
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Le but du Cercle Agile est de promouvoir une culture d’agilité et d’excellence au sein d’Aneo
Nous visons à permettre à nos équipes de conseil et d’expertise de fournir des solutions et des services de haute qualité à nos clients de manière collaborative, adaptable et centrée sur le client. En adoptant les principes et les pratiques agiles, nous cherchons à améliorer notre capacité à répondre aux besoins de nos clients, à stimuler l’innovation et à améliorer en continu nos compétences.
Notre Cercle Agile sert de plateforme pour partager des connaissances, des meilleures pratiques et des expériences dans le domaine de l’Agilité. Nous fournissons un coaching, une formation et un soutien aux individus et aux équipes constituant Aneo, en les encourageant à adopter efficacement les méthodologies et les mentalités agiles.
Nos missions
Partage d’expériences : les membres partagent leurs découvertes, leurs idées ou leurs réflexions au Cercle Agile ; chacun repart avec des apprentissages, des idées et une énergie renouvelée.
Résolution de problème : les membres se réunissent autour de la problématique d’un des membres, et lui fournissent en retour des conseils issus de points de vue différents ; tous les participants auront eux aussi intégrés ces conseils ou idées.
Coaching : le Cercle Agile sert de réseau ; par affinités ou expertises, un membre peut en contacter un autre et se faire aider sur l’un de ses sujets, ou simplement solliciter le regard extérieur d’un pair.
Veille : une communauté de passionnés, ce sont de nombreux articles, livres ou vidéos dévorées chaque mois ; la communauté permettra de partager ces trouvailles et d’en expérimenter certains ensembles.
Préconisations : le Cercle Agile produit des supports de formation, des mémos, des kits, des guides… pour son propre usage, ou pour nos collègues dans Aneo.
Influence et renommée : le Cercle Agile participe activement aux événements Agiles ayant lieu dans son écosystème (Agile en Seine, Voice of the Customer….).
Les rôles
La Core Team. Elle est composée de 2 Membres Actifs, désignés par ces derniers pour toute la durée d’une itération de 3 mois. Elle est responsable de la définition et de la mise à jour continue de la vision, des objectifs, de la communication et de la stratégie du Cercle Agile, en collaboration avec les parties prenantes. Elle coordonne et facilite les réunions, les ateliers et les événements du Cercle Agile. Elle est responsable de l’accueil et de l’intégration des nouveaux membres (actifs ou observateurs).
Les membres Actifs. Ils sont coachs Agiles, Scrum Masters, Product Owners ou travaillent dans des équipes Agiles ; Ils peuvent être salariés d’Aneo, ou compter parmi nos partenaires. Ils sont volontaires, mais s’engagent à s’impliquer activement pour la durée d’une itération de 3 mois. Ils participent à la définition et à la mise à jour de la vision, des objectifs et de la stratégie du Cercle Agile. Ils promeuvent l’adoption et le succès des principes et pratiques agiles au sein d’Aneo. Ils participent activement aux réunions, aux ateliers et aux événements du Cercle Agile. Ils assurent la pratique de la veille et partagent leurs connaissances au sein du Cercle Agile. Ils sont responsables de la création et de la mise à jour des livrables documentaires du cercle Agile : supports de formation, base de connaissances, meilleures pratiques…
Les Observateurs. Ils sont coachs Agiles, Scrum Masters, Product Owners ou manifestent simplement un intérêt pour les principes et les pratiques agiles. Ils participent librement aux activités du Cercle Agile ; aucun engagement n’est exigé des Observateurs, si ce n’est d’observer les règles définies par le Cercle Agile dans le cadre, et pour la durée, des activités du Cercle Agile. Ils peuvent à tout moment quitter le statut d’Observateur, comme ils peuvent à tout moment accéder au statut de Membre Actif (mais cet engagement perdurera dès lors jusqu’à la fin de l’itération).
Les événements
La réunion mensuelle du Cercle Agile. C’est d’abord un moment de partage ouvert à tous les membres du Cercle Agile, Membres Actifs comme Observateurs : atelier, co-construction, partage de connaissance, REX, espace libre de discussion. C’est aussi un espace de synchronisation entre les Membres Actifs : raffinage du backlog du Cercle, priorisation, assignation des tâches, suivi de l’avancement. La réunion mensuelle est facilitée par la Core Team.
La Rétrospective du Cercle Agile. Elle a lieu à l’issue de chaque itération, et permet tout particulièrement d’améliorer les règles de fonctionnement du Cercle Agile, pour application lors de l’itération suivante : suivi des actions précédentes, identification des succès et des échecs, recherche des opportunités d’amélioration, création d’un plan d’action. La Rétrospective est ouverte aux Membres Actifs et est facilitée par la Core Team.
Le Costa Rica est souvent considéré comme un leader en matière de durabilité environnementale. Le pays tire plus de 99 % de son électricité à partir de sources renouvelables, telles que l’énergie hydraulique, éolienne, solaire et géothermique. Le gouvernement a mis en place des aires protégées, des parcs nationaux et des réserves naturelles, couvrant plus de 25 % de la surface terrestre du pays, pour préserver sa biodiversité unique.
Cependant, le pays est également confronté à plusieurs enjeux environnementaux, sociaux et politiques. Le changement climatique est l’un d’entre eux, en particulier la sécheresse, les inondations, les glissements de terrain et la hausse du niveau de la mer. La perte de biodiversité est également un problème important, menacée par la déforestation, l’expansion de l’agriculture et l’urbanisation. Le tourisme est une source importante de revenus pour le Costa Rica, mais il peut avoir des impacts négatifs sur l’environnement et les communautés locales. Les inégalités sociales sont également un problème important, en particulier les inégalités de revenus et d’accès aux services de base tels que l’éducation et la santé, qui affectent souvent les communautés autochtones et les populations afrodescendantes.
Le Costa Rica a également adopté des politiques environnementales innovantes, telles que le paiement pour services écosystémiques, qui permet aux propriétaires de terres de recevoir une compensation financière pour la conservation de la biodiversité et de l’environnement naturel. Le pays a également interdit l’abattage des arbres sur les terres publiques et a adopté une politique de zéro émission nette de carbone d’ici 2050.
Le Costa Rica est également connu pour être une « zone bleue », une région dans le monde où les gens vivent plus longtemps et en meilleure santé que la moyenne. Les habitants de la péninsule de
Nicoya ont une espérance de vie plus longue que la moyenne nationale, ainsi qu’un taux plus faible de maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires et le cancer. Plusieurs facteurs peuvent contribuer à la longévité des habitants de Nicoya, notamment leur régime alimentaire riche en fruits et légumes frais, leur mode de vie actif et leur réseau social étendu.
Le Costa Rica dispose également d’un système de soins de santé universel qui couvre tous les citoyens et résidents permanents, y compris les soins de longue durée pour les personnes âgées. Les soins de santé sont accessibles et abordables pour tous, ce qui peut aider à prévenir les maladies chroniques et à améliorer la qualité de vie des personnes âgées. Les personnes âgées sont souvent respectées et valorisées dans la culture costa-ricaine, où les liens familiaux sont très importants.
Malgré les défis auxquels il est confronté, le Costa Rica a mis en place des politiques et des pratiques qui favorisent la durabilité environnementale, la santé et le bien-être de ses citoyens.
Les Zones Bleues
Les « Zones bleues » font référence à des régions dans le monde où les gens vivent plus longtemps et en meilleure santé que la moyenne. Il y a cinq zones bleues connues dans le monde, et l’une d’entre elles se trouve au Costa Rica, dans la péninsule de Nicoya. Les habitants de cette région ont une espérance de vie plus longue que la moyenne nationale, ainsi qu’un taux plus faible de maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires et le cancer.
Plusieurs facteurs peuvent contribuer à la longévité des habitants de Nicoya, notamment leur régime alimentaire riche en fruits et légumes frais, leur mode de vie actif et leur réseau social étendu. Leur mode de vie traditionnel, qui comprend l’agriculture, la pêche et l’élevage, est également considéré comme un facteur clé.
En ce qui concerne les personnes âgées au Costa Rica, le pays est souvent considéré comme un modèle en matière de soins pour les personnes âgées. Le pays dispose d’un système de soins de santé universel qui couvre tous les citoyens et résidents permanents, y compris les soins de longue durée pour les personnes âgées. Les soins de santé sont accessibles et abordables pour tous, ce qui peut aider à prévenir les maladies chroniques et à améliorer la qualité de vie des personnes âgées.
En outre, les personnes âgées sont souvent respectées et valorisées dans la culture costa-ricaine, où les liens familiaux sont très importants. Les familles sont souvent très impliquées dans les soins aux personnes âgées, ce qui peut aider à prévenir l’isolement social et à maintenir leur bien-être.
Les « Zones bleues » du Costa Rica et le traitement des personnes âgées dans le pays témoignent de l’importance accordée à la santé, à la famille et à la communauté dans la culture costa-ricaine. Le pays a mis en place des politiques et des pratiques qui favorisent la longévité, la qualité de vie et l’inclusion sociale pour tous ses citoyens.
Quelques chiffres sur la durée de vie et le 3ème âge au Costa Rica
Selon les données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’année 2020, l’espérance de vie à la naissance au Costa Rica était de 80,3 ans, ce qui est supérieur à la moyenne de l’Amérique latine et des Caraïbes, qui est de 76,3 ans.
La région de Nicoya a été identifiée comme une zone bleue en 2007 par Dan Buettner, un écrivain et chercheur américain qui a étudié les régions du monde où les gens vivent le plus longtemps. Selon Buettner, l’espérance de vie des habitants de Nicoya est de 90 ans, soit environ 10 ans de plus que la moyenne nationale.
En ce qui concerne les soins aux personnes âgées, le Costa Rica a mis en place un système de soins de santé universel en 1941. Selon le rapport de 2020 de l’OMS sur les systèmes de santé, le Costa Rica a l’un des meilleurs systèmes de santé en Amérique latine, avec une espérance de vie à la naissance supérieure à la moyenne de la région et un taux de mortalité infantile inférieur à la moyenne.
En 2019, le gouvernement costaricien a adopté une loi sur les soins aux personnes âgées qui reconnaît les droits des personnes âgées et garantit l’accès à des soins de qualité pour tous les citoyens. Cette loi prévoit la création d’un fonds national pour les soins aux personnes âgées, qui devrait contribuer à améliorer les soins et les services pour les personnes âgées.
Selon l’indice Global AgeWatch 2015 de HelpAge International, le Costa Rica a été classé deuxième dans la région Amérique latine et Caraïbes en ce qui concerne la qualité de vie des personnes âgées, grâce à son système de soins de santé universel, ses politiques sociales inclusives et son engagement en faveur des droits des personnes âgées.
Ces chiffres montrent que le Costa Rica est un pays qui accorde une grande importance à la santé et aux soins aux personnes âgées, avec des politiques et des pratiques qui visent à améliorer la qualité de vie pour tous ses citoyens.
En somme, le Costa Rica est un pays qui a su se démarquer en matière de durabilité environnementale et de soins aux personnes âgées. Le pays a adopté des politiques innovantes pour préserver son environnement et sa biodiversité tout en offrant un système de santé universel et des soins de qualité pour tous ses citoyens, y compris les personnes âgées. Le Costa Rica représente ainsi un modèle à suivre pour les pays du monde entier qui cherchent à concilier développement économique, durabilité environnementale et bien-être social.
Lena est une jeune femme vivant à Santiago et travaillant en tant que responsable des relations externes dans une startup à impact chilienne nommée Lemu.
Lemu est une marketplace destinée à mettre en relation des donateurs avec des projets de conservation et de restauration de sites naturels à travers le monde.
Grâce à des données géospatiales et à une intelligence artificielle éthique, le tout rassemblé au sein d’une application mobile, les créateurs souhaitent aider à trouver des fonds pour protéger la biosphère terrestre.
Le Chili fait face à de nombreux défis
Malgré le fait que ce soit l’un des pays les plus développés d’Amérique Latine, Lena estime que globalement la population chilienne ne se sent pas encore assez concernée par la crise climatique.
Les chiliens vivant à Santiago peuvent avoir un schéma de consommation parfois calqué sur le modèle américain : ils dépensent plus que ce qu’ils épargnent, ils passent un temps considérable dans les centres commerciaux, ils mangent beaucoup de viande, etc. Leurs revenus assez bas ne leur permettent pas forcément de consommer autant que les états-uniens ou les européens, toutefois inconsciemment cela reste un moyen pour eux de montrer à quelle classe sociale ils appartiennent.
Le Chili fait également actuellement face à de nombreux challenges tant bien au niveau social qu’économique. Après de violents soulèvements de population en 2019 suite à l’augmentation du coût de la vie, le peuple est entrain de voter une toute nouvelle constitution portant notamment à réduire les écarts sociaux. Le réchauffement climatique n’est donc pas toujours au cœur des discussions.
De plus, le pays a de nombreuses ressources naturelles sur laquelle elle base une partie de son économie. Le Chili dépend effectivement beaucoup de son activité minière : c’est l’un des principaux producteurs de cuivre et de lithium. Cependant, l’extraction de ces ressources peut parfois être à l’origine de nombreuses controverses car cela peut fragiliser la biodiversité locale.
L’économie chilienne dépend aussi beaucoup du tourisme. Du fait de l’amplitude du territoire du nord au sud, la diversité de paysages attire un grand nombre de touristes appréciant les nombreux sites naturels. Toutefois, Lena observe que cette nature n’est pas vraiment valorisée et est même souvent souillée par ses visiteurs.
Le Chili et ses premières démarches pour préserver l’environnement
Grâce à son poste chez Lemu, Lena a remarqué tout d’abord que le Chili est une référence en termes de préservation de ses parcs nationaux. Des fonds de conservation ont d’ailleurs récemment été débloqués à cet effet.
Elle observe aussi que de plus en plus d’entreprises sont sensibilisées à la cause climatique avec l’émergence de nombreux acteurs locaux eco-friendly proposant des solutions plus durables pour nos produits du quotidien que ce soit dans l’industrie de la mode ou alimentaire. Le Chili est en effet l’un des rares pays sud-américains à proposer des menus végétariens et vegans dans ses restaurants, ou bien même du vin biologique et des produits issus de l’agriculture régénératrice.
Selon Lena, un chemin est pris même s’il reste beaucoup à faire. Elle tient tout de même à souligner que le Chili prend beaucoup plus d’initiatives que ses voisins et que cela se veut encourageant pour la suite.
Penser sur le long-terme pour compenser l’inertie du changement de nos habitudes
Lena se veut pessimiste quant à notre futur quand elle pense à comment certaines personnes résonnent encore aujourd’hui. Les humains sont, selon elle, trop auto-centrés et ne réfléchissent qu’à leur intérêt sur le court-terme, sans réellement comprendre leur impact sur le long-terme. Ils considèrent que la planète leur appartient et qu’ils sont l’espèce la plus importante sur Terre. Beaucoup ne se sentent pas concernés par le réchauffement climatique tant que ça ne les touche pas directement et viennent même à penser que la cause écologique est un problème de riche.
« Il faut arrêter de penser qu’on est au-dessus de tout ça. On fait parti de l’environnement et on devrait en prendre soin. Si les humains viennent à disparaître, la planète, elle, continuera toujours d’exister.«
Changer ses habitudes peut prendre du temps et demander beaucoup d’efforts, c’est pour cela qu’il faut selon elle penser davantage sur le long-terme. Il est nécessaire de remettre l’environnement et l’humain au cœur des stratégies d’entreprises et gouvernementales et soutenir par exemple les initiatives citoyennes et locales ou les business basés sur une chaîne de valeur durable. Les entreprises devraient également fournir des efforts pour proposer des solutions utilisables par le commun des mortels. En effet, même les personnes ayant des petits revenus devraient pouvoir prendre action.
Selon elle, il peut être intéressant de ne plus considérer la RSE comme un département ou un ministère à part et de l’insérer dans les différentes branches pour travailler conjointement. Elle incite les gouvernements et entreprises à ne plus voir cela comme une restriction mais plutôt comme une opportunité de créer plus de valeur, si ce n’est pas aujourd’hui alors dans le futur.
« Nous n’avons plus vraiment le temps de financer des projets qui ne résultent pas. Tel un cercle vertueux, il faut investir aujourd’hui dans des projets à impact positif pour protéger notre futur. Ne pas prendre action maintenant nous coûtera plus cher plus tard. »
Le Chili est un pays d’Amérique du Sud qui partage ses frontières avec le Pérou et la Bolivie au nord et l’Argentine à l’est et au sud-est. Le territoire chilien forme une étroite bande allant du désert d’Atacama jusqu’au cap Horn. Le Chili est le pays le plus développé d’Amérique latine avec un indice de développement humain de 0,855 en 2021.
Le Chili face aux enjeux environnementaux
Les principaux enjeux environnementaux au Chili sont la pollution de l’air qui continue d’augmenter, en particulier dans les zones industrielles et urbaines, la rareté et la contamination des ressources en eau, la dégradation, la perte et la contamination des sols, la pollution sonore, la gestion des ordures solides et la perte de biodiversité. Le pays est également confronté à des problèmes de déforestation et d’érosion des sols.
Le ministère de l’Environnement chilien est chargé de la protection et de la conservation de la biodiversité, des ressources naturelles renouvelables et du développement durable.
Le Chili est un membre actif de la coalition Haute Ambition pour la Nature et les Peuples et milite pour la protection de la biodiversité marine. Le pays a proposé de présider la COP25 en 2019 suite à la défection du Brésil et est soucieux d’affirmer son leadership en matière de climat et d’environnement. Selon l’index général de risque climatique 2019 établi par l’organisation non gouvernementale allemande Germanwatch, le Chili occupe la 16e place parmi les pays du monde les plus touchés par le changement climatique.
Une démographie qui ralentit
La population du Chili était de 19,46 millions en 2021. Selon les projections actuelles, la croissance démographique ralentira considérablement au cours de la prochaine décennie, n’atteignant que 19,46 millions d’habitants d’ici 2030. Après 2030, la population devrait augmenter à nouveau à un rythme légèrement plus rapide, atteignant son pic en 2050 à 20,32 millions d’habitants.
Un pays face aux inégalités
Le taux de chômage au Chili est de 7,9 % en 2022. Ce taux a légèrement diminué par rapport aux années précédentes et est principalement influencé par les secteurs de la construction, du commerce et des transports qui ont rebondi après la pandémie.
Le Chili est un pays qui connaît des tensions sociales. Malgré une croissance économique de 2,5 % du PIB en 2019 et un taux de pauvreté de 8,6 %, les inégalités sociales sont fortes. En effet, le Chili est confronté à des manifestations depuis 2019. Des jeunes manifestants chiliens ont été interpellés pendant la révolte sociale de 2019 et sont toujours en prison préventive dans l’attente de leur jugement. Le gouvernement chilien a mis en place une nouvelle réforme fiscale pour lever plus de recettes et développer les programmes sociaux.
Les manifestations au Chili ont des causes multiples, y compris les inégalités économiques et sociales. La majorité des personnes qui ont exercé leur droit de réunion pendant cette période l’ont fait de manière pacifique. La hausse du prix des billets de métro de 30 pesos chiliens a mis le feu aux poudres et a déclenché les manifestations. Le pouvoir chilien a décrété l’état d’urgence, faisant appel aux militaires et instauré un couvre-feu. Le rapport indique également que les manifestants ont commis des actes de violence et que les forces de l’ordre ont commis de graves violations des droits de l’homme.
Le Chili est un pays d’Amérique latine qui a connu une croissance économique rapide ces dernières années. Cependant, selon une étude du Trésor français, l’économie chilienne pourrait tomber en récession en 2023 sous les effets de la dégradation de l’environnement extérieur.
Conclusion
Le Chili est un pays aux contrastes marqués, tant sur le plan géographique qu’environnemental et social. Toutefois, le pays est également très actif sur le plan de la protection de l’environnement et de la lutte contre le changement climatique, et entend bien continuer à jouer un rôle de leader dans ces domaines.
Ilsen représente très bien la force de détermination de la nouvelle génération. À 27 ans, elle est entrepreneuse et possède déjà son propre hôtel à La Paz en Bolivie. La Bolivie, pays d’Amérique du Sud, est confrontée à une grande variété de défis environnementaux, sociaux, climatiques et politiques. Diplômée d’une licence en marketing et publicité, elle travaille également pour plusieurs agences de voyages à travers le pays.
Elle voyage elle-même beaucoup au sein de la Bolivie et ne se lasse pas de découvrir la diversité de paysages que le pays a à offrir. Des plateaux altiplaniques au désert aride en passant par l’Amazonie, la Bolivie la surprend toujours. Pour cette raison, elle souhaite aider au développement d’un tourisme plus local.
L’importance de l’activité humaine
Les plateformes touristiques étant principalement des sites naturels, elle y observe malheureusement beaucoup d’impacts du réchauffement climatique. Elle est consciente que l’activité humaine est même souvent la source du problème.
Elle prend l’exemple de l’extraction de minerais en Bolivie et notamment de l’or. Les géants de ces exploitations aurifères dégradent les sols, déforestent des forêts vierges et polluent les cours d’eau par l’emploi de produits chimiques.
Elle présente aussi le cas de la très controversée construction d’une route dans le TIPNIS (Territoire Indigène Parc National Isiboro Sécure). Le gouvernement souhaite en effet créer un axe qui couperait en deux une réserve écologique riche en biodiversité, ce qui révolte les peuples indigènes boliviens.
La cohabitation de l’espèce humaine avec la nature
Ilsen se sent proche de la nature. Elle sait que l’espèce humaine dépend de l’environnement pour survivre car c’est son habitat. Elle croit en la capacité des humains à cohabiter avec la faune et la flore, à se compléter de manière vertueuse.
Pour cela, elle est convaincue qu’il faut avant tout éduquer la population dès le plus jeune âge. En Bolivie par exemple, certains gestes basiques tels que le tri des déchets commencent à peine à être intégrés. Mais selon elle, mieux recycler ne résoudra pas le problème :
“Il faut surtout faire prendre conscience aux boliviens de la gravité de la pollution industrielle et des décisions politiques corrompues.”
Ilsen est incertaine quant au futur de sa génération et de celles à venir. Cependant, elle estime que l’humain est un être intelligent capable de raisonner de manière rationnelle s’il comprend et s’approprie les enjeux du réchauffement climatique.
Dans son hôtel par exemple, elle recycle l’eau usée des douches. Elle a aussi recours à des vers californiens pour transformer ses déchets organiques en engrais pour ses plantes. Elle réalise qu’elle a pris ces initiatives une fois plus sensibilisée à la situation écologique de son pays.
Conclusion
Ilsen, une jeune entrepreneuse bolivienne, est convaincue que l’éducation dès le plus jeune âge est la clé d’un avenir durable. Elle s’engage à cohabiter avec la nature pour promouvoir un tourisme local respectueux de l’environnement.
La Bolivie, pays d’Amérique du Sud, est confrontée à une grande variété de défis environnementaux, sociaux, climatiques et politiques. Dans cet article, nous allons nous intéresser aux principales problématiques que rencontre ce pays.
Les défis environnementaux
La déforestation est l’un des problèmes environnementaux les plus importants en Bolivie. Les incendies de forêt ont été particulièrement dévastateurs en 2019 et 2020, posant question sur la politique environnementale en Bolivie. Le pays détient également les premières réserves de lithium du monde, mais l’extraction de ce minerai impacte les ressources en eau et menace le plus grand désert de sel du monde. Enfin, la pollution de l’air est une préoccupation majeure, en particulier dans les zones urbaines de La Paz et de Santa Cruz.
Les défis sociaux
La Bolivie a une forte population indigène, qui a longtemps été marginalisée en termes d’accès aux services de santé, d’éducation, d’emploi et de droits politiques. La pauvreté est également un problème majeur en Bolivie, avec environ un tiers de la population vivant en dessous du seuil de pauvreté. Enfin, le pays a également des défis en matière de crime et de violence, notamment dans les zones urbaines.
Les défis climatiques et politiques
La Bolivie est confrontée à de nombreux défis liés au climat, notamment la fonte des glaciers, qui affecte la disponibilité de l’eau pour la consommation, l’irrigation et la production d’énergie hydroélectrique. Le pays est également vulnérable aux événements météorologiques extrêmes, tels que les inondations et les sécheresses. Sur le plan politique, la Bolivie a connu des changements significatifs ces dernières années, avec l’élection de son premier président indigène, Evo Morales, en 2006. Cependant, la transition politique a été difficile et marquée par des protestations, des grèves et des affrontements violents. La corruption est également un problème important en Bolivie, avec des niveaux élevés de corruption dans le secteur public et privé.
Conclusion
En somme, la Bolivie doit faire face à de nombreux défis sur les plans environnementaux, sociaux et politiques. Les autorités boliviennes doivent mettre en place des politiques efficaces pour résoudre ces problèmes et améliorer les conditions de vie de la population bolivienne.
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On the agenda
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What roadmap for the migration of grids from on-Premises to AWS?
What are the numerical discrepancies and organizational difficulties?
Javier est producteur de café depuis 1952. Il possède aujourd’hui une exploitation nommée « Finca Temática La Divisa » dans la région de Quindio en Colombie où il produit du café d’origine de qualité supérieure. La Colombie est l’un des principaux producteurs de café au monde, mais la production est menacée par le réchauffement climatique.
La permaculture, une pratique agricole responsable
Sa ferme a été accréditée par l’autorité environnementale régionale pour sa bonne conduite en termes d’agriculture responsable. Il pratique en effet la permaculture dont le principe est de concevoir des lieux de vie circulaires où tous les micro-écosystèmes locaux contribuent à l’équilibre de son exploitation. Il reçoit d’ailleurs souvent des excursions scolaires ainsi que des chercheurs en biologie venant étudier ces procédés et leurs effets vertueux sur son terrain.
Son épouse et lui ont également acquis de bons réflexes tels que recycler leurs déchets ou utiliser la matière organique issue de leur compost pour créer de l’engrais naturel. De plus, une grande partie de ce qu’ils consomment provient du circuit court car Javier est aussi éleveur de vaches laitières et cultive plusieurs variétés de fruits et légumes.
Des habitudes responsables pour un mode de vie sain
Du haut de ses 71 ans, Javier a développé avec le temps une philosophie de vie bien établie. Il aborde une vie sans artifices, basée sur le minimalisme et l’autosuffisance. Il sait se recentrer sur l’essentiel et se satisfaire de peu. Sa routine alimentaire est saine, il ne consomme que des produits naturels et limite sa consommation d’alcool. Il est reconnaissant pour le quotidien qu’il mène et pour ce qu’il possède.
Il trouve son équilibre dans la nature et dans sa ferme, accompagné de son épouse mais aussi de leurs sept chiens. Ce n’est que de cette façon qu’il maintient une bonne santé mentale, et par conséquent physique :
« J’ai besoin d’être au contact de la nature pour me sentir bien. Si je passe quelques jours en ville, je ressens beaucoup de stress et quand la santé mentale ne va pas alors on somatise et le corps ne va pas bien non plus. Dans ces moments-là, je ressens le besoin de me retirer dans la nature pour me ressourcer. »
Javier adore tout ce que la nature peut offrir, il trouve que notre planète est magnifique et milite avec ferveur pour sa préservation. Malheureusement, en tant qu’agriculteur, il a déjà pu observer de nombreuses conséquences du réchauffement climatique. Auparavant, il était par exemple possible de cultiver le café à 1200 mètres d’altitude. Aujourd’hui, les producteurs sont obligés de monter jusqu’à 1500 mètres pour obtenir la température adéquate au bon rendement des plantations. Il en va de même pour le soleil, ingrédient essentiel au développement de toute exploitation, qui laisse souvent sa place à de plus fréquents épisodes de pluie ces dernières années.
Un engagement pour la préservation de la nature
Selon lui, nous vivons dans une époque charnière où l’inaction climatique fait écho à l’inlassable désir des Hommes pour l’argent et le pouvoir. Javier estime que le Monde est corrompu par ces deux facteurs, que les humains ne sont jamais satisfaits de ce qu’ils ont. Cette quête dérisoire éloignerait beaucoup de personnes de leur rapport à l’environnement et au vivant. Cela serait donc un des principaux freins à la prise de conscience écologique et au changement des comportements.
Pour Javier, la solution réside dans l’éducation dès le plus jeune âge. Il se revoit enfant, avec ses 7 frères et sœurs, à passer ses journées dans la nature. Ses parents, déjà producteurs de café, lui ont en effet transmis le plaisir d’être au contact du vivant et de le traiter avec respect. Sans l’éducation communiquée par ses parents, il n’aurait certainement pas développé les valeurs et le style de vie qu’il prône aujourd’hui.
Que ce soit au sein des foyers ou du système scolaire, il est évident pour lui que l’éducation peut servir d’outil pour influencer positivement les générations futures et qu’il s’agit d’un des piliers de la sensibilisation à la cause écologique. Adopter les bons gestes dès l’enfance aiderait à les ancrer dans les mœurs sur le long terme.
Conclusion
Javier se veut pessimiste en voyant le comportement actuel des milléniaux, parfois très autocentrés, avec la perte de certaines valeurs telles que le respect des anciens. Il voit malgré tout une lueur d’espoir en observant les consciences de certaines régions du Monde s’élever comme par exemple en Europe.
La Colombie est un pays aux multiples facettes, connu pour sa biodiversité exceptionnelle, sa production de café de qualité, mais aussi pour sa situation socio-politique complexe. Dans cet article, nous allons explorer les différents enjeux environnementaux et sociaux auxquels la Colombie est confrontée, ainsi que les richesses culturelles qu’elle propose.
Les enjeux environnementaux et sociaux
La Colombie est confrontée à plusieurs enjeux environnementaux majeurs, tels que la déforestation, la pollution, la perte de biodiversité et le changement climatique. La production de café, l’un des piliers de l’économie colombienne, est menacée par le réchauffement climatique et la prolifération de champignons mortels pour les plants de café. De même, la culture à grande échelle de l’avocat destiné à l’exportation prive les plantations de café d’un accès à l’irrigation, contribuant à la fuite des petits agriculteurs de leurs exploitations.
En outre, la Colombie est l’un des pays les plus inégalitaires d’Amérique latine, avec une répartition inégale des richesses et une exclusion économique et sociale de certaines populations. Les populations les plus pauvres sont souvent les plus exposées aux conséquences néfastes de la dégradation environnementale.
La production de café et le réchauffement climatique
La Colombie est l’un des principaux producteurs de café au monde, mais la production est menacée par le réchauffement climatique. En effet, les conditions de production de la précieuse plante sont mises en danger par le développement d’un champignon qui asphyxie les plants de café. Plus de la moitié des terres actuellement plantées de café seraient impropres à sa culture d’ici à 2050. Cette situation a des conséquences sociales désastreuses, car le café fait vivre près de 600 000 familles de petits agriculteurs.
Les universités et la Fédération des caféiculteurs multiplient les recherches pour éviter le scénario catastrophe et lutter contre les maladies qui pourraient menacer le café. On parle aujourd’hui d’utiliser des nanoparticules pour étouffer la croissance des champignons et sauver ce qui est un symbole national.
La production d’avocats et mondialisation
La production d’avocats en Colombie est en pleine expansion, mais elle menace les plantations de café en les privant de leur accès à l’irrigation. Les exploitations d’avocat, destiné à l’exportation et cultivé par des groupes internationaux sur le territoire colombien, sont un facteur important des difficultés rencontrées par l’agriculture traditionnelle du café et la fuite des petits agriculteurs de leurs exploitations. Les entreprises étrangères sont accusées de « prélèvement illégal d’eau », de « contamination des sources d’eau » et d' »abattage illégal ». Cette production d’avocats pose également des problèmes environnementaux, tels que la pollution et l’accaparement des terres des paysans qui cèdent aux propositions alléchantes des multinationales.
La richesse culturelle de la Colombie
La Colombie propose une richesse culturelle exceptionnelle, avec une variété de danses, de musiques et de traditions populaires. Le pays est connu pour la salsa, la cumbia et le vallenato, des genres musicaux qui ont conquis le monde. En outre, la cuisine colombienne est très diversifiée, avec des plats tels que l’ajiaco, la bandeja paisa et l’arepa.
Le pays compte également de nombreux sites touristiques, tels que la vieille ville de Carthagène, le parc national de Tayrona et la Ciudad Perdida. Enfin, la Colombie est également connue pour ses festivals, tels que le Carnaval de Barranquilla et la Feria de Cali.
Conclusion
La Colombie est un pays aux multiples défis, notamment environnementaux. La mise en place de politiques environnementales, notamment la création de parcs nationaux couvrant 14% du territoire, n’est pas considérée comme suffisante au regard des enjeux par de nombreux acteurs de la société civile. La protection de la biodiversité et les droits des communautés locales, des peuples autochtones et des groupes marginalisés sont des enjeux majeurs pour la Colombie. Cependant, le pays doit également faire face à des défis économiques, notamment la nécessité de développer son économie tout en préservant son environnement. Des solutions sont recherchées pour répondre à ces défis, mais une coopération internationale est nécessaire pour soutenir les efforts de la Colombie dans ces domaines.
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